Présentation d'Annales Aequatoria

La revue Æquatoria fut ressuscitée par les fondateurs du Centre Æquatoria en 1980, sous le nouveau nom Annales Æquatoria, qui à son tour a été arrêtée en 2009 (volume 30). Le but des Annales Aequatoria n’avait pas changé par rapport à celui d’Æquatoria, à savoir d’encourager l’étude des langues, des littératures, des sociétés et de l'histoire d'Afrique Centrale en général, et des Mongo en particulier.

Annales Æquatoria (ISSN 0254-4296) était une revue soumise à une expertise “en aveugle” (revision par des pairs). Dans une première phase, les manuscrits reçus étaient examinés quant à leur affinité thématique avec les objectifs de la revue et les exigences des normes minimales d'une publication scientifique. Dans une deuxième phase, le texte ainsi accepté était examiné “en aveugle” par deux réviseurs internationaux pour évaluation. Les avis appliqués étaient: accepté comme tel; accepté avec révisions mineures ou majeures; rejeté.

Annales Æquatoria était recensé par: International Bibliography of Social Sciences, A Current Bibliography of African Affairs, Cambridge Scientific Abstracts, African Journals Online, INIST-CNRS (France), Language and Language Behavior Abstracts, and the Library of Congress (Nairobi) Office. Thompson ISI étudie l'éventuelle inclusion des Annales Æquatoria dans ses listes.

Le dernier comité scientifique des Annales Æquatoria était composé de:

• Rédacteur en chef: Honoré Vinck
• Rédacteur adjoint: Michael Meeuwis
• Comité scientifique: Kamba Muzenga, Lufungula Lewono, Motingea Mangulu, Mumbanza mwa Bawele

Des 30 volumes sortis, nous rééditons sur le web les années 1980 à 1999 et 2005 à 2009. Les volumes manquants sont encore disponibles chez l'éditeur (vinck.aequatoria@skynet.be) et seront mis sur le site ultérieurement. Les textes complets des Annales Æquatoria, ainsi que de l’ancien Æquatoria, peuvent d’ailleurs également être obtenus à partir du site de JSTOR (gratuit depuis l’Afrique): http://www.jstor.org/action/showPublication?journalCode=annaaequ.

Nous sommes fort redevables à Monsieur et Madame Theo et Lies Strijker, qui ont scanné ou dactylographié les deux séries. Qu'ils trouvent ici l'expression de ma reconnaissance. Les originaux qui ont été utilisés proviennent des Archives des Missionnaires du Sacré-Coeur à Borgerhout (B).