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colonial periodicals in African languages in the Æquatoria Archives / by Honoré Vinck
[in French only]
Une grande partie de la collection des périodiques locaux microfilmés était en possession du Père Gustaaf Hulstaert quand j'ai commencé à ordonner les archives Æquatoria. La collection conservée à la bibliothèque Æquatoria est pratiquement limitée à ceux édités à Coquilhatville/Mbandaka. Les publications d'après l'Indépendance n'ont pas été collectionnées systématiquement. L'Eglise catholique qui avait été très active dans le domaine de l'édition avant l'Indépendance a pratiquement tout abandonné en 1960. Nous avons encore microfilmé quelques titres en provenance d'autres endroits du Congo/Zaïre.
Il existe un excellent instrument de travail pour une partie des périodiques mentionnés:
Charles Lonkama, Index des périodiques édités à Mbandaka 1914-1976, (Sujets et auteurs), dactylographié, Bamanya 1995, 17 + 4 + 172 + 208 pages.
Ce travail exceptionnel présente en guise d'introduction chacun des 13 titres de périodiques analysés: Pax, Etsiko, Efomesako, Lokole Lokiso, Le Coq Chante, Gazette de l'Equateur, La Cuvette Centrale, Ekim'ea Nsango, Ekelesa Ekiso, Tam tam de Bokuma, Nkambo 'e Ekelesa, La Page Chrétienne, Mbandaka. La première partie (page 1 à 172) consiste en la liste des auteurs avec pour chacun les publications ordonnées selon l'année de publication. Les titres en langues africaines ont été traduits et les sobriquets ou pseudonymes identifiés dans la plupart des cas (page 1 à 208). La deuxième partie est constituée d'une Table analytique des sujets. Toutes les indications y sont répétées en plein. Une série (incomplète) des périodiques catholiques publiés à Mbandaka, se trouve dans la maison MSC à Borgerhout (B). Une autre série incomplète de Lokole Lokiso a été donnée aux Archives Ecclésiastique à Kinshasa et aux Archives du diocèse de Mbandaka. La Bibliothèque Africaine à Bruxelles possède quelques numéros de la plupart des titres de la presse non-confessionnelle.
1. Efomesako (1936-1937)
Lomongo. Parution irrégulière. Nouvelles des postes de mission; réflexions religieuses, éducation populaire. Les Archives Æquatoria ont: -Pasika 1936, -Malia 1930, -Eotswelo 1936, (cfr Le Coq Chante 2(1936)9+10), -Pasika 1937. P 1-2 Cette publication parut pour la première fois en 1936, 64 pages, 1500 exemplaires. Le format variait: tantôt in-4°, tantôt petit (13 x 11 cm). La parution n'était pas régulière. Des numéros à succès furent : Towa la bete o ? (Une argumentation contre la sorcellerie et la magie) et Losilo jwa bonanga bokiso (concernant le problème du dépeuplement de la région mongo).
2. Le Coq Chante (1936-1948)
Lomongo, lingombe, longando, français. Bimensuel, mensuel. Différents formats. Beaucoup de littérature, d'histoire, d'instructions religieuses, des nouvelles de la région. Les Archives Æquatoria ont la série complète. P 41-77 Albert De Rop qui participait à la rédaction écrivait: "Bien qu'ayant un titre français, cette publication était en majeure partie rédigée en lomongo. Elle fut lancée par le Père Boelaert (...) Normalement bimensuelle, pendant la guerre cependant, elle ne paraissait qu'une fois par mois. Les éditions des deux premières années et celles de 1946 étaient de format in-4°, les neuf autres de format 28 x 21,5 cm. On commençait avec un tirage de 500 exemplaires. En 1940, le tirage était de 781 exemplaires. Dès 1946, le diocèse de Basankoso collaborait au périodique qui, dès lors, publiait aussi des articles en lingombe. Au milieu de 1937 on constate un changement net. Les rubriques se dessinent mieux et les lecteurs réagissent, surtout ceux des postes de l'intérieure En même temps la diffusion s'organise: cheque poste de mission recrût des abonnés. En matière de religion nous y trouvons les premières traductions des textes bibliques (épîtres et évangiles) avec commentaire. On publiait aussi de courtes biographies de saints. Plus tard suivra une série de commentaires catéchétiques. La rubrique littéraire avait sa place dans presque toutes les éditions, On envoyait de partout des fables. Certains catéchistes et instituteurs en faisaient souvent parvenir à la rédaction. En juillet 1939 on proposa un concours de poésie mongo. Une très belle collection de littérature traditionnelle fut-ainsi publiée dans la première moitié de 1940. Plus tard les fables et poèmes furent utilisés pour les études linguistiques. Les coutumes mongo faisaient également objet d'une rubrique: les danses traditionnelles, le droit, l'organisation du pouvoir judiciaire, les mœurs matrimoniales, la sorcellerie etc. On publiait aussi une série d'articles sur l'histoire des mongo et leur organisation politique. Un autre sujet était la langue des mongo. Les numéros de la première année contenaient chacun une partie du premier lexique Lomongo-Français. Sous forme de conversation, "Le Coq Chante" offrait souvent à son public des cours de botanique, de géographie, d'hygiène, de puériculture. On informait les lecteurs des naissances, des décès, de l'œuvre missionnaire. Les années 1938 - 1945 constituaient l'âge d'or de ce périodique". (dans J. Vereecken, MSC 50 ans au Zaïre, Borgerhout 1975, p. 26-30)
3. Nkambo e'Ekelesa (1937-1941)
Lomongo, in Q°. En 1937-38 comme supplément à Efomesako et le Coq Chante ; contenu exclusivement religieux. Les Archives Æquatoria ont: 1937 (nrs. 1-12); 1938 (nrs. 1-9 ), idem; 1939 (3 nrs.); 1940 (nr. Ekunjwelo/2nrs manquent); 1941 (aucun numéro à la Bibliothèque). P 76.77.78. Ce périodique était le successeur de Bosangano et paraissait à Pâques, à l'Assomption et à Noël. On y trouvait le commentaire à propos de la fête en question et l'explication des sacrements. Lancée à 1400 exemplaires, en 1940, la revue était encore tirée à 275 exemplaires. En 1941, la pénurie de papier occasionna sa suppression. Les Archives Æquatoria ont:
4. Etsiko (1949-1954)
Lomongo, lingala, français. Mensuel. Les Archives Æquatoria ont: 1949, Nr spécial; 1950; 1951-52; 1953;1954. P 79-89. Etsiko prenait la place de son prédécesseur Le Coq chante. Etsiko est l'arbre qu'on laisse sur la place publique des villages et à l'ombre duquel les gens viennent s'asseoir. Les anciens y tenaient leurs assemblées, on y causait, on y jugeait les palabres. Voilà ce que c'est notre périodique : un arbre à palabres. La revue mensuelle mit au concours un problème qui était très actuel alors . celui des droits fonciers indigènes. Il y avait 30 participants dont on publia la liste. Un résumé de leurs dissertations parut dans un numéro spécial, en lomongo et en français sous le titre : "Le problème de nos terres". On organisait une deuxième enquête sur l'histoire de l'arrivée des Blancs dans la région. En 1954, la rédaction était en mains du Père Flor Van Bortel.
5. Bosangano (1936)
4 pages in-4°, il paraissait mensuellement en 1936. Il était destiné aux membres de la ligue du S. Cœur. Les pages contenaient des réflexions religieuses et un peu de catéchisme ou de direction spirituelle. Plus tard, les divers numéros furent réunis et répandus en un seul volume. Les Archives Æquatoria ont: 1936 complet. LAL 71.
6. Lokole Lokiso (1955-1960. 1962)
Lomongo, français. Information générale; nouvelles de l'intérieur. Formation politique et civique; combats pour la culture et langue Mongo. En 1954 le tirage était de 1080 exemplaires, en 1955 et en 1956, 1500 exemplaires. Bimensuel de 1955 à 1957, 1958 et 1959 plus irrégulier; 1 numéro en 1960, et 15 en 1962. Les Archives Æquatoria ont: 1955-56; 1957-58; 1959-62. P 89-177. Ce périodique succéda à Etsiko début 1955. Mr P. Ngoi et Mr A. Elenga deux collaborateurs de Gustaaf Hulstaert, présentaient le périodique dans le premier numéro. Ils l'appelaient "lokole" parce que leurs ancêtres s'étaient servis du tam-tam pour la transmission de messages. Ils rédigeaient la revue en lomongo en en français. Leur but: mettre en harmonie la civilisation occidentale avec leur manière de vivre en partant de leur propre culture. Adapter, pas copier. Au cours de 1960 'Lokole" cessa une première fois de paraître. On reprenait en 1962 mais pour quelques numéros seulement. Les premières années étaient vraiment brillantes. Dans Lokole 1 janvier 1955, Pol Ngoi déclarait: "Dans d'autres régions de la Colonie, les autochtones ont déjà leur presse, et dans leur langue. Les Nkundo-Mongo occupant un vaste territoire ne méritent-ils pas leur propre journal? Il ne convient pas de faire toujours appel à nos Civilisateurs. C'est à nous même de faire progresser notre pays. (…) par conséquent nous avons jugé utile d'éditer, en notre sein, une revue sous notre direction. En 1957, la rédaction le présente comme étant l'initiative de quelques "jeunes" mongo (N° du 1-15 août 1957): "Quelques jeunes mongo ont proposé d'éditer leur propre journal, à être dirigé par eux-mêmes. Lorsque l'évêque a été mis au courant de ce projet, il a supprimé Etsiko pour laisser à ces jeunes Mongo l'opportunité de faire sortir leur journal." On débat les grand problèmes de la société coloniale. Au début on les considère encore d'un point de vue traditionaliste mais rapidement ces questions sont posées en vue de l'interprétation des événements et évolutions d'actualité: la propriété foncière, l'utilisation des langues africaines dans la vie publique et scolaire, la dénatalité des mongo, l'organisation de la justice, l'évolution de la colonie, et à l'approche de l'indépendance on s'exprime assez librement sur les grands thèmes politiques et la formation de parti politiques. La littérature traditionnelle reçoit moins d'attention que dans les prédécesseurs de Lokole Lokiso mais on y trouve des créations nouvelles de poésie en lomongo et en français.
7. Ekim'ea Nsango (1913-1960)
Lomongo, un peu de français, mensuel, in 8°, pages par numéro: 1914: 8; 1922: 16; 1926: 40 à 60; 1936: 85 ; 1950: 30; 1956: 44; 1958: 62. Tirage: 1925: 400; 1931: 1700. Les archives Æquatoria ont: 1925-1927; 1929; 1930-40 (incomplet). P 121-128.
Fondé en 1913, ce périodique des Disciples of Christ Congo Mission était édité et imprimé à Bolenge et paraissait jusqu' en 1960. Principalement en lomongo, on y trouve quelques textes en lingala et en français. Ce fut en premier lieu une feuille de communication entre les missionnaires et leurs collaborateurs locaux. A partir de 1924, à côté des nouvelles des différentes postes de mission , on y trouve de petites instructions morales et doctrinales, côtoyant des leçons de formation générale. Plusieurs textes sont très proches des livrets scolaires édités par les mêmes personnes (géographie, hygiène, charpenterie, puériculture, civisme etc...) . Une série de 25 notices biographiques de figures très variées y sont présentées en exemples aux lecteurs congolais (Livingstone, Stanley, Lincoln, Edison, R. Bruce, Les Rois et les Reines belges, Matula, Marie Wanga etc...). On y trouve plusieurs fables et proverbes mongo et occidentaux ainsi que des leçons de patriotisme et civisme belges. L'histoire des mongo y est ainsi abordée: "Nos ancêtres sont venus du Nil". Pendant les années trente on met en évidence le rôle social de l'Etat et on met un accent particulier sur l' explication et la justification des fardeaux imposés par l' Administration comme: l'impôt, les corvées, les cultures obligatoires. On y explique aussi le fonctionnement de la poste et le rôle des dispensaires et hôpitaux. On présente les autorités (le Roi, le Gouverneur Général) et on explique la signification des fêtes nationales (belges et congolaises). Des guerres de 1914-1918 et de 1940-1945, on ne souffle pas un mot. Les nouvelles du monde ou des régions du Congo sont extrêmement rares (une fois en 1935; quelques notices à partir de 1954). L'arrivée du Roi Baudouin en 1955 à Coquilhatville est l'occasion de rappeler, citant la lettre de St Paul à Tite (3,1-2) que l'on doit être soumis aux autorités. Durant cette dernière période, quelques textes de formation et information relative aux problèmes sociaux font leur apparition: la pension des travailleurs, la caisse d'épargne, l' exode rural, la "civilisation". Les années cinquante voient s'ouvrir une rubrique spécifique traitant des problèmes de la jeune femme noire. Pendant la période de 1957 à 1960 les échos de l'évolution politiques de la colonie y pénètrent timidement. Un article de 6 pages sur l'Indépendance est comme un adieu de la rédaction. Avec ses 47 années, le plus ancien des périodiques en lomongo rend ainsi l'âme. Des rédacteurs seuls Mrs Leslie (1929-1933; 1940-1946), Mrs G.R. Wells (dates ?) et E. Ross (dates ?) sont connus. Annales Æquatoria 16(1995)591-594 et 17(1996) 18(1997)507-508 et Vinck H., The Historical Society of the Disciples of Christ à Nashville.
8. Mbandaka (1947 à 1958 /- 1960 ?)
Français, lingala, hebdomadaire. Périodique de l'Administration coloniale avec des communications sportives et des nouvelles locales. Informations générales. Les Archives Æquatoria ont: 1954-1958. P 152-160. Le Citoyen Bomboko était rédacteur en chef pendant plusieurs années jusqu'en 1955). A.C. Bolela l'était en 1957. Parti aux études à Louvain, il fut remplacé par L. Ilufa à partir de 1957. En 1947, le tirage était de 500 exemplaires, évoluant jusqu'à 2160 ex. Laissons la parole au rédacteur en chef Bolela: "On vit en 1947, à Coquilhatville, naître un hebdomadaire sous l'appellation " Mbandaka ", nom indigène de Coquilhatville. Ce journal a été créé par le comité sportif qui avait conçu l'idée de fonder une petite feuille qui relaterait les exploits sportifs. (…) La direction du journal fut confiée à M. Victor Brébant, alors Chef du Bureau dé l'Information (…) Les articles étaient fournis par les membres du Comité sportif. Aux pages sportives s'ajoutèrent des feuilles cinématographiques et la relation des activités des "foyers sociaux" qui venaient de s'installer au Chef-lieu de la Province, de l'Equateur. Dirigé par un fonctionnaire et manquant de fonds, Mbandaka finit par devenir une gazette gouvernementale de la Province et subira le contrôle dé l'Etat, son éditeur. La rédaction fut assurée par les fonctionnaires noirs du Bureau de l'information. Le Congolais de l'Équateur auquel il manquait un journal pour exprimer sa pensée et dire son opinion y trouva une très bonne occasion. Il fallait attendre la nomination de M. Justin-Marie Bomboko aux fonctions de Rédacteur en chef pour que cette gazette devint un des journaux officiels les plus intéressants. M. Bomboko, distingué par ses reportages et ses éditoriaux, bien qu'handicapé par le service des Affaires Indigènes donna une orientation nouvelle à cette gazette. Editorialiste parfait il traita pendant quatre ans des problèmes sociaux, économiques, voire politiques, bien entendu en conformité avec la politique générale du Gouvernement. Après le départ de M. Bomboko pour Bruxelles, c'est l'auteur de ce petit travail qui devint le rédacteur en chef (…) Il essaya de le rendre de plus en plus attrayant en suscitant des polémiques sur des problèmes de l'heure ainsi que par la présentation des titres et la, mise en page. Les lecteurs et abonnés issus de la classe de la population non suffisamment instruite, s'intéressaient de plus en plus à Mbandaka le nombre croissant d'abonnements, l'énorme correspondance e en étaient des preuves tangibles." Bolela A.C., Un aperçu de la presse congolaise écrite par les noirs de 1885 à 1960, Congo-Afrique 11(1971)20-21 Brebant V., Mbandaka, dans :Mbandaka n°33, du 17-8-1957
9. Mboli ya Tengai (1906-1960 ?)
Publié par la B.M.S. en lokele à Yakusu à partir de 1906-1960? In 8°, 8 pages par numéro. Formation religieuse; nouvelles des Postes de Mission; un peu de formation générale. De temps en temps un peu de français. Les Archives Æquatoria ont: à Bamanya: nrs 442 (1944) et 661 (1958) P 175; à Borgerhout: (non microfilmé) 1918 (n.94) à 1940 (n.400). On trouve la collection complète au MBS Regent's Park College à Oxford.
10. Fanalo ti Ubangi [Nouvelles de l'Ubangi] Août (?) 1950-1963 ?
Feuille du diocèse de Molegbe. Editée et imprimée (en alphabet IAI) à Molegbe en ngbandi; à partir de 1959 aussi en lingala (Nsango ya Ubangi). En 1951 on parle de 2500 abonnements Les Archives Æquatoria ont: 1952 , mars; 1958 novembre; 1959, de février à décembre; 1960: de janvier à novembre; 1961 complet; 1962: de février à novembre; 1963: de février à novembre. P 175-178. Caractérisée par une grande participation aux courrier des lecteurs. Formation religieuse et civique, articles de formation générale, nouvelles des villages, de la région, de la Colonie et du monde. Les textes principaux ne sont pas signés, donc très probablement de la main des missionnaires responsable pour la feuille. On l'envoyait aussi à la diaspora ngbandi..
11. Nkuruse (1932-1963)
Feuille de communication du diocèse de Tshumbe. Lancée en 1914 par les Scheutistes en tshiluba par Mgr Declercq et à partir de janvier 1932 doublée en otetela, cette dernière version est continuée à partir de juillet 1936 par les Pères Passionistes et animée par Mgr J. Hagendorens (à partir de 1937) qui y puisait des informations linguistiques pour son dictionnaire et sa grammaire. En 1932 il avait un tirage de 1500 exemplaires. On utilise l'alphabet IAI. Entre 1932 et 1935 paraissaient 226 pages in 8°; entre 1936 et 1940, 96 pages in 8°. La revue est suspendue pendant la guerre (déjà en 1939 aucun numéro avait paru et 1940 en avait vu deux seulement). Après la guerre le format (Q°) et le style changent: plus de nouvelles, plus d'éducation agricole, sanitaire, formation générale. Les Archives Æquatoria ont: 1958. P.178-179. Une série complète chez le Père Labaere à Wezembeek-Oppem (B) et chez le Professeur John Jacobs. Le premier numéro expose les buts de la publication: enseignement religieux, éducation des enfants, information sanitaire (il y a un article du Dr Hemeryckx sur les maladies vénériennes), littérature traditionnelle, nouvelles locales et régionales.
Bibliographie
Anonyme, Périodiques publiés au Congo Belge, Zaire 1(1947)217-221 ; Anonyme, A quoi nous servirait notre presse indigène, Lokole Lokiso 15 juillet 1955, p.1 et 1 août 1955, p. 7 Anonyme, Répertoire de la presse au Congo Belge, Léopoldville 1957 Berlage J., Répertoire de la presse du Congo Belge (1884-1954) et du Ruanda-Burundi (1920-1954), Bruxelles, Ministère des Colonies, 1955 Berlage J., Répertoire de la presse du Congo Belge (1884-1958) et du Ruanda-Burundi (1920-1958), Bruxelles, Bibliographia Belgica, 43, 1959 Bolela A.C., Un aperçu de la presse congolaise écrite par les noirs de 1885 à 1960, Congo-Afrique 11(1971)20-21 Bono S., I giornali come fonte per la storia contemporanea dell'Africa, Bolletino della Associazione degli Africanisti Italiani, 1970, III, 3-4, 12-18 Kalulambi Pongo M., Production et signification de l'identité Kasaienne au Zaire. La revue Nkurusu en tant qu'action et témoin (1890-1990). Thèse de doctorat en histoire, Université Quebec. Scotton J.F., Tanganyika's African press 1937-1960 : a nearly forgotten pre-independence forum, African Studies Review 21(1978)1,1-18 Vinck H. et Lonkama Ch., Tradition et modernité mongo :Bio-bibliographie de Paul Ngoi, Annales Æquatoria 19(1998)335-390 Vinck H., La presse à Mbandaka, Annales Æquatoria, 4(1983)157-164 Vinck H. et Lonkama E.B., La Presse à Mbandaka, dans Collectif, Mbandaka hier et aujourd'hui, Centre Æquatoria (Etudes Æquatoria-10), Mbandaka 1990, 227-234
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